Le bégaiement est une mesure d’espaces temps que l’on veut bien s’accorder à soi-même

Christian Boisard | 13 décembre 2016

Préambule

Le bégaiement est une mesure d’espaces temps que l’on veut bien s’accorder à soi-même.

« Le temps est temps, qu’on lui accorde du temps ou pas, il restera toujours temps, temps qui se consume, comme la cire d’une bougie qui coule lentement le long d’un chandelier, jusqu’à ce que la flamme incandescente s’éteigne en laissant place à la pénombre »
« Cette image est comparable à notre vie à tous »
« On peut en déduire qu’il n’y a pas de présent, il y a uniquement un passé et un futur »

En ce qui concerne le bégaiement, il est le lien entre la pensée et la parole, il doit être identifié à une valeur nominale, qui tout en l’identifiant à une matière visuelle et palpable, devient une mesure de distances.

Ce qui nous démontre, de par cette prise de conscience la valeur d’espace temps entre l’inspiration et l’expiration, ce qui permet en identifiant chaque valeur qui se présente à nous, de se mettre en accord avec soi-même, qui est dans ce cas de figure sa respiration.
Toutes images « même vulgarisées » que l’on identifient à sa parole, permettent psychologiquement, de mettre une valeur entre distance et parole, espaces temps qui nous sont accordés par tout phénomène visuel, objet et respiration, ce qui nous rappelle une valeur empirique ou présente.
Cette valeur, de par sa mesure intemporelle, nous permet de ne pas devancer sa parole par la pensée.

Il est provoqué par une désynchronisation entre empressement, respiration, gestuel, pensée et parole, il doit être identifié à une valeur nominale, qui pourrait être une matière visuelle et palpable ce qui permettrait d’instaurer une mesure de distances, entre pensée et parole.
Ce qui nous démontre, de par cette prise de conscience la valeur d’espace temps entre l’inspiration et l’expiration, ce qui permet de par cette mesure, d’identifier chaque valeur qui se présente, afin de se mettre en accord avec soi-même, qui est dans ce cas de figure respiration et parole.

Cette valeur, de par sa mesure intemporelle, nous permet de ne pas devancer sa parole par la pensée.

Bien évidemment pour apporter une solution complémentaire et fiable, il est nécessaire d’enseigner des outils de décontractions gestuelles <<contrôles de tous les muscles qui pourraient être bloqués>> qui permettent de par des rappels de manière empirique, le mécanisme de sa respiration, afin de pouvoir contrôler chacune de ses syllabes.
On peut constater dans un premier temps que sa respiration n’est pas régulière, des petits à-coups respiratoires apparaissent, identifiables à un empressement sur soi-même.

Il faut savoir que l’être humain utilise environ 40 à 50% de ses facultés intérieures, si demain il décide d’accroître et d’atteindre un quota de réflexions supérieur aux pourcentages cités préalablement, il lui faudra dans un premier temps, analyser, chercher et comprendre tout ce qui existe et se passe en lui et autour de lui.

Personne ne réfléchit de la même façon, on pense, on réagit et interpelle, d’après ses propres vécus, on se sert uniquement de l’empirique des images et des situations que l’on a assimilé et emmagasiné durant toute son existence, nous pouvons donc en conclure que toutes prises de paroles, et actes, sont le reflet des images de notre propre passé.

Bien sûr on ne peut pas tout comprendre, ni refaire le monde, combien de jeux de cartes ont refait le monde ?
Combien de pendules ont essayé d’attirer tous les mystères au bout d’un fil magnétisé ?
Après tout, il suffit de penser, pour deviner la vérité. Il faut savoir que tout est en soi.
On ressent des choses qu’on ne s’explique pas.

L’esprit est un grand jardin de fleurs, si l’on cueille chaque fleur une à une, on s’aperçoit que l’espace – temps entre le geste et l’acte, nous donne la distance nécessaire à la réflexion du soi même.

Pourtant nous essayons, nous cherchons cette petite lueur qui peut-être un jour nous dirigera vers le tracé de la vérité sur notre bégaiement, que l’on veut atteindre, souvent en vain, car l’être humain est trop individualiste pour cela.

En règle générale, l’être humain est uniquement acteur de lui-même, il joue sont propre rôle.

Bien évidemment pour apporter une solution complémentaire et fiable, il est nécessaire d’enseigner des outils de décontractions gestuelles « contrôles de tous les muscles qui pourraient être bloqués » qui permettent de par des rappels de manière empirique, le mécanisme de sa respiration, afin de pouvoir contrôler chacune de ses syllabes.

Un bègue respire uniquement par nécessité, il est en permanence en apnée, ce qui incontournablement le plonge sans arrêt en état de fatigue.
Toutes les prises de parole qu’il prend se font en fin d’expiration et non en début d’expiration, ce qui explique le manque d’espace-temps entre l’inspiration, <> et l’expiration<>.

Par faute de ce manque de prise de conscience d’espace-temps entre la pensée et la parole, il laisse aller son empressement de vouloir dire sa phrase très vite en apnée, de peur de chuter en plein milieu de son énoncé.

Il faut savoir qu’un bègue est doté à la naissance d’hypersensibilité, voir émotivité, ce qui le plonge dans une réceptivité très détaillée des états d’humeur et aspects psychologiques des personnes qui l’approche.

Il prend sans exception toutes les choses à cœur, même les moindres détails, situations, sa réceptivité est en permanence très développée, très présente.

Le bégaiement apparaît fréquemment vers l’âge de 3 ans de façon presque insignifiante.

Il est perceptif sous forme de lenteur verbale, de récapitulatifs de syllabes, on pense que l’enfant recherche ses mots.
Le bégaiement se décèle au fil du temps de par des pincements et des tremblements plus ou moins prononcés des lèvres, des clignotements des yeux.

L’évolution se remarque ensuite par des piétinements qui apparaissent lorsqu’il veut prendre la parole,
« il cherche des moyens gestuels d’appuis pour l’aider à décrocher ses syllabes ».

Le bégaiement et l'esprit

On peut constater que le bégaiement est sujet à quelques dominations de l’esprit, comme au réveil avant de prendre conscience de soi-même.

Dans ce cas de figure l’esprit est dans le domaine de l’inconscience, ce qui entraîne à dire que le conscient n’a pas encore reçu l’information que le sujet est bègue, donc aucune gêne immédiate et apparente.

Au fil des minutes, l’esprit se réveil, l’information du bégaiement suit alors son acheminement vers le subconscient qui dirige la gêne vers le conscient qui lui par habitude restaure toutes les données intérieures requises.

On peut en déduire que tout parasite involontaire peut tomber dans le domaine de l’oubli, à condition que l’inconscient et le subconscient rejettent l’information soumise par le conscient.

Généralement une gêne même quelconque, au fil du temps tombe dans le domaine de l’habitude, qui est gérée par le subconscient et le conscient .

De ce fait il est très difficile même au moyen de thérapies de voyages intérieurs, d’oublier le temporaire et d’inculquer une règle permanente d’effacement d’une gêne quotidienne, sauf si l’inconscient subit un traumatisme amnésique, qui entraînerait le conscient de la gêne vers l’inconscient qui deviendrait le seuil du sommeil au réveil.

Certaines méthodes comme l’hypnose et l’auto hypnose peuvent gérer partiellement un trouble, ce qui bien sûr involontairement entraîne d’autres déséquilibres du comportement, sensation d’être ailleurs, bien être, oubli de certains points et repères sensibles de soi-même.

Cette thérapie n’est pas négligeable, à condition de l’inculquer avec l’aide de méthodes spécifiques à la gêne que l’on prétend vouloir faire disparaître.

Tout avenant à un sommeil de relaxation factice de repos et de réparation regroupe plusieurs facteurs, donc il est nécessaire d’accoupler l’handicap à éliminer à un objet qui aurait pour mission de par sa forme et sa couleur, de faire régresser le parasite vers l’inculcation de disparition soumise.

Le bégaiement et la nervosité

Le bégaiement est un empressement verbal et non comme on pourrait le penser une nervosité perpétuelle, par contre, il peut entraîner une certaine nervosité, de par la difficulté permanente de l’instabilité de son élocution.

Christian Boisard

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